Depuis plus de 20 promotions de coachs (entre la France et le Maroc), j’ai pris l’habitude de dire que le travail sur les zone d’ombre est un travail de fond et sur la durée car il ne s’arrête réellement jamais.
C’est un peu le paradoxe d’Achille et la tortue qui s’offre à nous.
J’insiste sur le fait que de travailler sur son ombre nécessite la présence d’un tiers, la présence d’un être humain bienveillant près de nous…. C’est un compagnon de voyage qui peut changer avec le temps, mais c’est le seul à réellement nous permettre de travailler en sécurité avec notre ombre.
La voie royale pour reconnaitre notre ombre est la projection, car naturellement, nous projetons sur l’autre notre ombre…
Ce qui me déplait chez l’autre c’est :
- Ce que j’ai chez moi et que je refuse inconsciemment
- Ce que je n’ai pas chez moi et j’envie inconsciemment
De plus
“Plus on s’élève vers la lumière et plus l’ombre augmente en devenant plus diffuse et encore moins visible.”
Selon ces principes :
“Le travail sur l’ombre est un travail d’une vie !”
J’ai rencontré des stagaiaires qui n’ont pas respecté ou compris ces consignes et … pour eux… La dépression nerveuse peut-être au bout de ce voyage.
Ce voyage est dangeureux et nécessite d’avoir présent à l’esprit au départ l’amour de soi pour prendre soin de soi. Alors les perfectionnistes sont réellement en danger lors de ce travail.
Soyons prudent, et humble sur la route de la conaissance de soi. L’humilité c’est d’accepter de n’être pas parfait pour avancer sur la route. Le perfectionnisme amème l’immobilisme et dans ce cas précis… le risque.
Nous sommes tous comme Achille le rapide, jamais nous n’atteindrons la tortue !
Bien à vous
Oui, oui, je confirme : le travail sur l’ombre est le travail d’une vie et c’est autant ardu, qu’on ne voit pas notre propre ombre par définition, d’où l’intérêt de la présence d’un tiers, effectivement !
Puis-je suggérer pour compléter de lire l’article http://www.coaching-harmonique.fr/apprivoisons-notre-ombre/ ?